Naucratis, cité vouée au culte de Déméter

Naucratis déclare dans le présent sujet son souhait de commercer avec les cités-états de Barcè et Cyrène, de Crète et de Rhodes, de Lycia et de Sidè, de Sparte et de Chypre. Naucratis saura leur apporté blé, lin et papyrus d'Egypte ainsi qu'être l'intermédiaire entre les Pharaons et les Grecs dans la vente de vin, d'huile et d'argent.

La cité de Sparte accepte avec très grand plaisir et vous propose d'aller plus loin encore en s'alliant avec cette dernière.

Qu'en dites-vous ?

Quelles seraient les clause de l'alliance à laquelle vous escomptiez ?

Ce n'est guère compliquer. Une aide sur tous les plans. Pouvoir s'appuyer sur l'épaule de l'un si l'autre est en difficulté quel qu'elle soit. Il n'y a pas de subordinations, pas de dominations. Seulement une entre aide mutuelle si le besoin s'en fait sentir sans de vrai obligations mise à part un sentiment de devoir envers son ami et son allié. Sparte est fier et fidèle, si vous avez besoin de notre aide sur quelque plan que ce soit nous pourrions être la. De meme que nous ne doutons pas de votre fidélité et de votre honneur c'est pour cela que nous vous le proposons.

Cela vous intéresse ?

La Crête accepte de recevoir vos marchandises et est ravi de démarer des échanges commerciaux avec vous.

Voici la réponse de Naucratis à la cité de Sparte : Nous ne doutons pas de loyauté de Sparte, cependant - et ne le prenez pas comme un refus catégorique - au vu des distances qui nous sépare, il serait mieux de convenir que nous sommes, chacun d'un côté de la Méditerranée, plus efficace à défendre nos voisins qu'à faire de longs voyages en mer pour rejoindre l'autre rive.

Celle à l'adresse de la Crète : Naucratis est ravie d'entreprendre ce commerce avec vous.

Il n'y a aucun souci nous comprenons parfaitement.

Et les autres cités, ne donnent-elles pas de réponse ?

Barcè et Cyrène acceptent.
Les autres sont dans l'expectative. Qu'y gagneraient-ils?

Ce qu'ils y gagneraient ? Voyons ! Tout : le blé des plaines fertiles d'Egypte, le lin et le papyrus. Le vin, l'huile et l'argent de Naucratis et les esclaves ! Ainsi que, par tous les dieux !, la prosperité économique !

Les autres cités non-jouées acceptent donc, sans grande conviction toutefois.

Qu'elles se rassurent, elles ne feront qu'y gagner.